Opanowanie jako kategoria duchowa
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Date
2016
Authors
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Publisher
Wydawnictwo KUL
Abstract
Opanowanie ujęte jako kategoria duchowa przedstawia się jako rzeczywistość trojakiego rodzaju: 1) jako zintegrowanie wewnętrzne - jestem panem siebie (swojej ziemi); 2) jako zniewolenie przez pana, który uzurpuje sobie prawa do mnie lub przez własne wady, które zdominowały moje postępowanie i myślenie; 3) jako doświadczenie wolności „w Panu”, które intensyfikuje rozwój wyposażeń naturalnych i wszelkich sprawności ducha poddanego łasce. Opanowanie pierwszego rodzaju ma charakter humanistyczny i etyczny, w pewnym stopniu przynależy do formacji ludzkiej, do norm dobrego wychowania. Jest cechą pożądaną w życiu społecznym, zwłaszcza przy wypełnianiu funkcji przywódczych. Opanowanie drugie - odczytywane w formie biernej (być opanowanym przez) - oznacza niepożądane zdominowanie przez coś (np. nałóg, namiętność) lub kogoś (np. manipulatora, demona), że w konsekwencji człowiek znajduje się w potrzasku (ja nic nie mogę).
Opanowanie typu trzeciego jest par excellence kategorią duchową i odnosi się do sytuacji optymalnie interpersonalnej, w której Pan nie niweczy tożsamości i godności tego, kto go zwie Dominus, lecz inspiruje jego rozwój (najpierw duchowy, w konsekwencji całościowy) i wyzwala radość bycia. W takiej logice św Paweł pisał do Koryntian: „Myśmy nie otrzymali ducha świata, lecz Ducha, który jest z Boga, dla poznania darów Bożych” (1 Kor 2,12). W tej samej logice Kościół w celebracji chrzcielnej pyta katechumenów: Czy wyrzekacie się wszystkiego, co prowadzi do zła, aby was grzech nie opanował? Wydaje się, że można zasadnie konkludować, że christianus - to osoba ontycznie opanowana przez Boga Ojca i Syna, i Ducha Świętego od momentu chrztu (polski termin „chrześcijanin” odsyła raczej do sakramentu chrztu, podczas gdy łacińskie christianus wskazuje na przynależność do Chrystusa).
L’ auteur de l’article fait recours à saint Paul qui énumère quinze œuvres de la chair qui dominent l’homme pris par les passions (Ga 5,19-21) et neuf fruits de l’Esprit (Ga 5,22-23); la maîtrise de soi se trouve au sommet de ces fruits. Dans la première partie de l’article, l'auteur parle de la maîtrise intra-personnelle: être le maître de soi-même. Ce type de maîtrise peut être négative et positive. La maîtrise négative consiste a maîtriser ses passions charnelles, ses opinions illusoires, ses défauts moraux. La maîtrise positive signifie les qualités acquises par le travail personnel avec l'aide de la grâce divine. Dans la deuxième partie de l’article, l’auteur parle de la maîtrise interpersonnelle, c’est-à-dire de la situation ou quelqu’un est maîtrise par un autre. L’autre peut être un intrus, un démon, un manipulateur. C’est Dieu qui donne la vraie liberté, mais il faut le reconnaître comme son Maître - Jésus est le Seigneur. Dans la conclusion l’auteur constate que la maîtrise de soi en tant qu’une qualité spirituelle se réalise dans les trois domaines: 1) intégration intérieure (je suis le maître de moi-même; 2) état de l'esclavage produit par un autre ou par ses propres défauts qui ont domine la façon de penser et d’agir; 3) libération produite par Dieu (et sa grâce) enrichi les capacités naturelles et spirituelles de l’homme. L’intégration intérieure a un caractère humain et étique, elle fait partie de l'éducation morale et de la culture générale. L’état de l’esclavage c’est une domination qui frein le développement intérieur de l'homme. La libération produite par Dieu c’est un état spirituel produit par la grâce; cette libération a un caractère ontique; elle libéré la personne dominée par le mal et lui rend la vraie liberté. Dans la liturgie du baptême, celui qui va être baptise rejette le démon et tout ce qui conduit au mal et au péché, et ensuite il commence a vivre dans le Seigneur.
L’ auteur de l’article fait recours à saint Paul qui énumère quinze œuvres de la chair qui dominent l’homme pris par les passions (Ga 5,19-21) et neuf fruits de l’Esprit (Ga 5,22-23); la maîtrise de soi se trouve au sommet de ces fruits. Dans la première partie de l’article, l'auteur parle de la maîtrise intra-personnelle: être le maître de soi-même. Ce type de maîtrise peut être négative et positive. La maîtrise négative consiste a maîtriser ses passions charnelles, ses opinions illusoires, ses défauts moraux. La maîtrise positive signifie les qualités acquises par le travail personnel avec l'aide de la grâce divine. Dans la deuxième partie de l’article, l’auteur parle de la maîtrise interpersonnelle, c’est-à-dire de la situation ou quelqu’un est maîtrise par un autre. L’autre peut être un intrus, un démon, un manipulateur. C’est Dieu qui donne la vraie liberté, mais il faut le reconnaître comme son Maître - Jésus est le Seigneur. Dans la conclusion l’auteur constate que la maîtrise de soi en tant qu’une qualité spirituelle se réalise dans les trois domaines: 1) intégration intérieure (je suis le maître de moi-même; 2) état de l'esclavage produit par un autre ou par ses propres défauts qui ont domine la façon de penser et d’agir; 3) libération produite par Dieu (et sa grâce) enrichi les capacités naturelles et spirituelles de l’homme. L’intégration intérieure a un caractère humain et étique, elle fait partie de l'éducation morale et de la culture générale. L’état de l’esclavage c’est une domination qui frein le développement intérieur de l'homme. La libération produite par Dieu c’est un état spirituel produit par la grâce; cette libération a un caractère ontique; elle libéré la personne dominée par le mal et lui rend la vraie liberté. Dans la liturgie du baptême, celui qui va être baptise rejette le démon et tout ce qui conduit au mal et au péché, et ensuite il commence a vivre dans le Seigneur.
Description
Keywords
opanowanie, kategoria duchowa, owładnięcie
Citation
Wyzwolenie i modlitwa, red. J. K. Miczyński, Lublin: Wydawnictwo KUL, 2016, s. 43-62.
ISBN
978-83-8061-374-4