Interpretacja rytmiczna monodii liturgicznej w XVII wieku. Pierre-Benoît de Jumilhac i jego La science et la pratique du Plain-chant (1673)

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dc.contributor.authorAleksandrowicz, Miłosz
dc.date.accessioned2023-10-04T11:10:07Z
dc.date.available2023-10-04T11:10:07Z
dc.date.issued2013
dc.description.abstractLa science et la pratique du plain-chant (1673, publié anonyment) de Pierre-Benoît de Jumilhac est, depuis plusieurs années, regardé comme l’un des plus importants sources de connaissance de la pratique du chant monodique en France au XVIIe siècle. La lecture de cet livre est profitable de plusieurs façons en raison que le traité de Jumilhac contient une description détaillée à la fois du pratique et de la théorie du chant liturgique. Or, ce précieux document historique nous ren seignant sur l’état du chant liturgique à l’époque de Louis XIV. Dans la troisième partie de son traité (De la durée ou mesure des sons et de leurs notes) Jumilhac dit que l’interprétation rythmique est l’une des questions les plus importantes de la pratique du chant grégorien. Il explique aussi la signification rythmique les signes graphiques et des notes utilisés dans les livres liturgiques. D’après lui l’agrément du chant ne consiste pas seulement à observer les proportions des intervalles entre les sons mais aussi à garder les proportions que demandent la durée et le temps des mêmes sons car comme ces proportions prennent leur origine de celles que les nombres en étant comparés les uns aux autres. Division et la différence de ces espèces de mesure procède semblablement des diverses proportions de la du rée du temps que leurs sons peuvent avoir en étant comparées selon cette même durée les uns aux autres. Jumilhac décrit aussi les espèces de chant, dont l’usage est le plus commun dans les offices ecclésiastiques: plain-chant autrement appelé grégorien et chant poétique appelé ambrosien. Cette dernière espèce se divise en chant rythmique ou psalmodique et en chant métrique, qui derechef se divise en chant dactylique, trochaïque et jambique. Cette chants sont ainsi nommé à cause des pieds rythmique dont ils sont composés ou qui ont accoutumé d’y dominer. Dans chacun des types de chants il y a différentes règles de réalisation rythmiques.
dc.identifier.citationAnnales Lublinenses pro Musica Sacra, 2013, nr 4, s. 23–46
dc.identifier.issn2083-0416
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12153/5802
dc.language.isopl
dc.publisherWydawnictwo Muzyczne Polihymnia
dc.rightsAttribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 Internationalen
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/
dc.subjectPierre-Benoît de Jumilhac
dc.subjectśpiew gregoriański
dc.subjectśpiew rytmiczny
dc.subjectmuzyka XVII wieku
dc.subjectteoria i praktyka chorału gregoriańskiego
dc.subjectGregorian chant
dc.subjectrhythmical chant
dc.subjectmusic of 17 century
dc.subjecttheory and practic of Gregorian melody
dc.titleInterpretacja rytmiczna monodii liturgicznej w XVII wieku. Pierre-Benoît de Jumilhac i jego La science et la pratique du Plain-chant (1673)
dc.title.alternativeL’interprétation rythmique de la monodie liturgique au XVIIe siècle. Pierre-Benoît de Jumilhac et son La science et la pratique du Plain-chant (1673)
dc.typeinfo:eu-repo/semantics/article
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